#83

basiques de 2 à 6 ans de carole favero. pantalon large à genouillères et pull à pli transformé en tunique.
j'adore ce livre...
mais maintenant, un peu à charlotte qui me réclame une tunique à chaque fois que je sors un tissu. et puis j'ai vu une robe japonaise pour moi. et puis des pantalons pour les gars, et encore des robes pour bAbette... ça n'en finit jamais ;-)

#82

encore des balades, grand bol de nature pendant ces vacances.
et ce soir, l'anniversaire de misterx, qui rentre de paris pour le fêter en famille, et repartir demain aux aurores...

#81

quelques petits réaménagements dans le salon (tiens c'est étonnant...). 

et une guirlande de pastilles de tissus qui court le long du mur. 

envie d'avoir une belle maison...

les enfants jouent dehors toute la journée, j'en profite pour bricoler un peu. c'est bien finalement les vacances!

#80

soleil radieux
glands qui craquent sous les pieds
famille en vadrouille
un chouette début de vacances...

#79

robe k - basiques pour 2 à 6 ans de carole favero

ma soeur avait raison... j'ai trouvé le graal! elle m'avait prévenu en achetant ce livre...

je suis tombé sur le livre de patrons pour enfants de carole favero dans ma librairie... et je me suis dit que j'avais bien envie de tout faire. lorsque j'ai montré le livre à bAbette, elle aussi voulait absolument tout...

comme il fallait bien commencer par quelque chose, j'ai fait le modèle K, en velours lisse bleu nuit et liberty poppy&daisy gentiane.

ce que j'aime, c'est que les modèles sont simples et sobres, et que selon le tissu choisi on peut en faire du "tous les jours" ou du "habillé". je ne sais pas encore quel sera le prochain, mais il ne devrait pas tarder...

#78

bracelets / broches / barettes
petits bidouillages d'une journée calme

#77

l'esprit tranquille. voilà comment je suis ce matin.

ce mercredi a été bon pour tout le monde. marcher et ramasser des trésors dans la nature est un bon moyen de canaliser les énergies et de retrouver une tranquillité intérieure. se poser. s'apaiser.

moi la première. lâcher prise sur tout ce qui n'est pas possible aujourd'hui et ne le sera jamais. apprécier ce que l'on a avant d'en vouloir davantage. être vraiment là où l'on est. zen...

et je retourne à mes bricolages du marché de noël. faire avec d'autres, pour d'autres, c'est un moyen aussi d'être bien...

#76

< oui, aujourd'hui il y a plusieurs posts. et plein de photos.

il y a aussi du soleil, des petits sauts, la flûte enchantée et de la danse, des courses de quatre pattes, des tagliatelles alla carbonara, des tests pour le marché de noël de l'école, des trous dans la jupe et le collant, un peu de crochet.

et tout à l'heure après la sieste, une promenade au carmel avec l'espoir de caresser les chevaux, des madeleines au chocolat à manger en marchant, peut-être un chocolat chaud pour se réchauffer, un bon bain, un dîner léger et pouf au lit! 

y a pas photo, c'est un vrai mercredi... >

#75

mercredi matin - 8h
< le secret, c'est le regard. le regard ça change tout. une nuit de sommeil aussi remarque. mais quand même, le regard... >

#74

envie de me remettre un peu à la photo. de les croquer via l'objectif. peut-être pour me distancier un peu du bruit et de l'agitation occasionnés par le nombre et les personnalités. pour les regarder mieux que ce que ce dont je suis capable en ce moment, avec mon oeil au naturel.

des envies, il y en a à la pelle, comme les feuilles sur les trottoirs. on ne peut pas toujours sauter dedans à pieds joints parce que c'est vraiment trop tentant, et que ça craque sous la botte et que c'est un bruit délicieux.

mon corps depuis des semaines me dit "coucou je suis là t'en fais un peu trop je ne vais pas tenir longtemps d'ailleurs tiens je laisse rentrer une petite gastro / une petite angine / un coup de mou tu seras bien obligée de te poser trois secondes". je crois qu'il va falloir y aller doucement si je veux tenir le cap. respecter mon besoin de sommeil. c'est rageant d'être toujours confronté à ce corps qui limite.

et puis changer ce regard. les enfants ont tendance à être toujours dans la case "contraintes". trouver du plaisir à être avec eux, faire des choses avec eux, sans penser toujours dans un petit coin que s'ils étaient ailleurs, je pourrais faire telle ou telle chose... ça fait mauvaise mère d'écrire ça hein? il y a en tout cas de la culpabilité à le penser... mais soyons lucide... il n'y a qu'en voyant les choses telles qu'elles sont qu'on peut les changer...

#73

samedi, grande première, une journée à paris avec ma mère, ma soeur et ma belle-soeur. des femmes sans leurs hommes, mari, père, frère et beau-frère, qui trottinent gaiement du musée d'orsay à la droguerie, de ladurée à sacrés coupons. des femmes qui goûtent la beauté, la bonne bouffe, le plaisir de ne pas avoir une coulée de morve sur le pantalon... il faisait magnifiquement beau, et frais. 

et ce matin, pour prolonger cette journée, je me suis cousu un petit haut simplissime, mais en soie, toute douce. 

j'ai aussi rapporté de paris une bonne angine... mais ça valait sacrément le coup...

#72

merci pour vos petits mots d'encouragement, qui portent bien davantage que ce que vous pouvez imaginer...

et rien de tel pour remonter le moral que la perspective d'un châle douillet autour de son cou...

je suis rentrée de ma formation samedi soir, ai enchaîné avec les 40 ans d'une amie. 

et ce matin, me voilà, devant mes cours, avec les examens du mois de janvier en tête... il faudra trouver une organisation pour un travail régulier, personnel et en binôme. je suis au taquet, hypermotivée...

je sais que l'année va être laborieuse. mais l'objectif est tellement important pour moi que je sais que je vais trouver les ressources nécessaires pour l'atteindre... c'est bon de se sentir en état de projet...

#71

malgré la séance coiffeur et la jupette, rien n'y a fait aujourd'hui. coup de mou. coup de "allo maman bobo, maman comment tu m'as fait ch'uis pas beau". (je vous avais dit que j'avais fait un blois-paris avec alain?)

on ne sait pas comment ça vient ni pourquoi. mais quand ça vous plombe là, sur la chaise de bar dans le salon, vous avez l'air con. avec dans la tête des chansons tristes. les larmes au bord des yeux. le regard grisou. et flasque.

demain est un autre jour. pas de bol, il paraît que c'est un jour de pluie...